Tredi, filiale du groupe Séché Environnement spécialisée dans le traitement et la valorisation des déchets dangereux, a obtenu pour ses usines la certification ISO 50 001 dédiée à la performance énergétique. Cette nouvelle confirme la volonté du Groupe de faire de ses sites industriels, des références en matière de performance énergétique et d’excellence environnementale.
Dans le cadre d’un processus d’amélioration continue de sa performance énergétique Trédi s’est engagé à travers sa politique énergétique signée en juin 2020 à valoriser le potentiel énergétique de chaque déchet pris en charge et gérer de manière optimisée les usages de l’énergie au niveau de ses installations selon le référentiel ISO 50 001.
Une démarche de progrès structurée autour de 2 objectifs principaux :
- Une meilleure connaissance des consommations et productions énergétiques industrielles de l’entreprise,
- Une gestion optimisée des indicateurs énergétiques intégrés à la conduite des installations.
Une certification inscrite dans la stratégie Climat du Groupe
Cette certification des activités de tri, reconditionnement, traitement et valorisation énergétique de déchets dangereux et non dangereux de la société Trédi fait suite aux audits qui ont eu lieu en Septembre 2021 sur les 4 sites français désormais intégrés dans cette démarche du Groupe. Elle s’inscrit dans la stratégie Climat de Séché Environnement qui vise la réduction des émissions du groupe de 25% en 2030 et la décarbonation de ses clients en augmentant de 40% le volume d’émissions évitées d’ici 2025.
Les consommations de ressources fossiles (nécessaires notamment au fonctionnement des unités de valorisation énergétiques) font partie des Usages Energétiques Significatifs suivis et optimisés au travers du Système de Management de l’Energie, de même que la production d’énergie destinée à être autoconsommée ou bien à aider les clients de Trédi à réduire leurs propres émissions de CO2.
A titre d’exemple l’usine Trédi Salaise (38) fournit chaque année 600 000 tonnes de vapeur aux industriels de la plateforme chimique de Roussillon, soit la moitié de leurs besoins énergétiques. Cette énergie permet de limiter le recours aux énergies fossiles et les émissions de gaz à effet de serre : 180 000 tonnes de CO2 peuvent ainsi être évitées chaque année, soit l’équivalent des émissions d’une ville de 23 000 habitants.
